Bonjour Wahrani,
Respecter et considérer une personne signifie dire le
vrai à son sujet, pas à colporter des fables fokloriques comme j'ai pu en
trouver chez Ibn Khâtir, alors que
Pax Christi,
Catholique
Bonjour Wahrani,
Respecter et considérer une personne signifie dire le
vrai à son sujet, pas à colporter des fables fokloriques comme j'ai pu en
trouver chez Ibn Khâtir, alors que
Pax Christi,
Catholique
Bonsoir Catholique
On peut constaté que chaque fois, vous cherchez une
annexion vers l’Islam, aussi je compte sur votre honnête intellectuelle pour
ouvrir d’autres Topic sur l’Islam et je me ferai un grand plaisir ainsi que mes
coreligionnaires de ce forum, de répondre à tous vos questionnements.
Pour répondre à dérivation sur l’Islam, je dirai que
contrairement à
Cordialement
Bonjour Wahrani,
Les récits de l'enfance de Jésus sont en effet très succincts et uniquement dans les évangiles selon Saint Matthieu et dans Saint Luc.
Les évangélistes ont rapporté de la vie du Christ avant le début de son ministère public ce qui se rapportait à sa mission messianique et ce qui annonce donc sa mort et sa résurrection. On n'y trouvera donc pas les épisodes charmants et naturels de l'évolution d'un petit enfant (ses premiers pas ou ses premiers mots), pas plus qu'on ne trouvera de description de la vie quotidienne du Christ entre 12 et 30 ans.
Saint Matthieu rapporte 2 évènements majeurs : le massacre perpétré par Hérode sur les jeunes enfants de Bethléem, ville de naissance du Messie (Michée 5,1) et la fuite en Egypte de la sainte famille. Dans ce récit, saint Matthieu récapitule toute l'histoire du peuple d'Israël, de son séjour en Egypte et de la libération de l'esclavage sous la conduite de Moïse.
Jésus embrasse et récapitule toute l'histoire de son
peuple et toute
Quant à Saint Luc, outre un récit très détaillé de la naissance du Christ qui est porteur lui aussi de l'annonce de la mort et de la résurrection de Jésus, on trouve ce passage si particulier de la rencontre de Jésus avec les sages au Temple : 20 ans plus tard, les mêmes le condamneront à mort. Cet épisode de la vie du Christ est rapporté parce qu'il annonce la mort du Christ.
Une autre explication au silence relatif des évangiles
sur les 30 premières années du Christ s'explique par la structure clairement
assignée aux évangiles : de la prédication de Jean-Baptiste à
Dieu l'avait annoncé par ses prophètes :
Psaume 69, 10 :« Car je suis dévoré par le zèle de ta maison et les outrages de ceux qui t’insultent retombent sur moi »
Sagesse
2, 12-21 (50 avant la naissance de Jésus-Christ)
« Tendons
des pièges au juste, puisqu'il nous gêne et qu'il s'oppose à notre conduite,
nous reproche nos fautes contre
Mt 27, 39-43 : «Les passants l’injuriaient, ils hochaient la tête en disant : «
Toi qui peux détruire le Temple et le rebâtir en 3 jours, sauve-toi toi-même.
Si tu es Fils de Dieu, descends de la croix ! Les grands prêtres avec les
scribes et les anciens le raillaient de même : « il en a sauvé d’autres et il
ne peut se sauver lui-même ! S’il est roi d’Israël, c’est le moment de
descendre de la croix et nous croirons en lui ! il s’est confié en Dieu ; que
Dieu le tire à présent de là, s’il l’aime tant »
Voir Mc 15, 29-32 et Luc 23, 35-38
L'explication tient au grave malentendu entre Dieu et
les juifs sur la notion de "Messie"...
Et cela répond encore à votre question précédente.
Les Juifs soumis à la domination romaine attendait un Messie, fils de David qui chasserait les Romains et rétablirait le royaume d'Israël. Ceux qu'on appelle "frères de Jésus" étaient précisément de ces descendants de David qui portaient cette conception royale et militaire du Messie.
Mais Dieu a envoyé à l'Humanité, un Messie humble qui prend sur lui toute la souffrance de l'Humanité et pour qui il n'est point question de domination autrement que par le refus de la violence.
Ce Messie ne convenait pas au peuple juif, ni aux "frère de Jésus" de lignée davidique. Le peuple juif, plusieurs décennies après a préféré suivre de faux messies qui ont causé le malheur de leur peuple.
L'islam ne vous donne pas les bonnes clés d'interprétation du prophétisme. Plusieurs prophètes d'un niveau de sainteté inégalé n'ont pas laissé une ligne (Elie et Samuel, pour ne citer qu'eux).
Pax Christi,
Catholique
Bonjour Catholique
Dans un précédent post, j’avais en effet mentionné qu’il existe des versions du Testimonium flavianum (les extraits des Antiquités judaïques qui font références à Jésus) où l’auteur témoignerait de sa résurrection, alors que d’autres (traduites d’abord en arabe) ne font aucune mention. L’authenticité du Testimonium flavianum est donc sujette à débat quant à une interpolation chrétienne.
Par ailleurs, je teins à vous dire que dans un autre précèdent post, nous avons échangé quelques propos sur ce que Nostra Aetate écrivit des musulmans.
Ce débat m’avait incité à l’écriture d’un article
intitulé Sans Notre Islam, l’Eglise nous
regarde avec estime, publié ce jour
et ceci en guise de dénonciation et d’une réponse à la déclaration du
Concile II
J’avais mis en relief l’incapacité des différents conciles
qui ne sont finalement pas arrivés à
éclaircir et expliciter aux croyants
chrétiens lambda qui ignorent presque tout sur la période cachée de 18
années sur
C’est dire que les miracles de Jésus n’ont convaincu personne de sa mission, pas mêmes ses frères, ou encore apporter des explications au nombre très restreint des adeptes de Jésus qui à la fin de ministère n’avait que 11 apôtres et Trois femmes comme unique adeptes. Surtout lorsqu’on sait qu’un enseignement prophétique et divin ne s’écrit jamais après le départ du Prophète ou du Messager, c’est une loi divine.
Vous pourriez le consulter sur le lien suivant :
http://www.alterinfo.net/Sans-notre-Islam-L-Eglise-nous-regarde-avec-estime-_a138976.html
Cordialement
Bonjour Wahrani,
C'est seulement l'écriteau qui se trouvait fixé au-dessus de la croix qui a été récupéré et fixe sur une des colonnes du Temple. Sans doute peu après l'exécution du Christ et pour faire un exemple à l'adresse des Juifs qui auraient des revendications royales (puisque c'est le chef d'inculpation contre le Christ).
Le fait était cependant connu puisque l'on connaît plusieurs références intéressantes à propos de Jésus, "roi qui n'a pas régné".
Le passage que j'ai cité se trouve dans un manuscrit
de Flavius Josèphe de la 1ère édition de
Pax Christi,
Catholique
Bonjour Catholique
Chacun voit midi à sa porte, je viens de parcourir
l’œuvre en question, il n’y a aucune mention de l’écriteau, donnez moi les
références exactes pour les consulter.
Et puis autre chose, c’est quant même bizarre qu’une
croix avec son écriteau reste en place
jusqu'à
Chère Catholique, vous êtes entrain de nous vendre
l’invendable, et c’est très dommage.
Cordialement
Je vous cite : Mais, Eh … Oh… Kader, c’est oublier que l’Algérie a été colonisée par les turcs bien plus longtemps que les français : 30...